15 avril 2017

Comment ça va ça va ça va ça va sur ma planète ?

Je suis tellement heureuse que je trouve ça presque indécent d'en faire un article. Genre le mauvais karma, les gens qui tombent sur mon blog après une rupture et se retrouvent nez à nez avec un texte qui sent la mauvaise guimauve et me maudissent pour 8,5 générations.

Fig 1. Syndrôme pré-menstruel
La preuve, c'est que ça fait plus d'un mois que j'ai écrit ces deux phrases et que je les regarde tous les 5 jours en me demandant si ça vaut vraiment le coup d'y donner suite. Mais comme je n'ai pas plus d'inspiration sur d'autres sujets, je me lance, en m'excusant d'avance pour mes arrières-arrières fillots.

Fig 2. Un jour j'arriverai à avoir une relation équilibrée 
En vrai, je passe surtout moins de temps sur mon ordi (la meuf qui a genre une vie!). En ce moment il fait vraiment beau et j'ai la chance d'avoir enfin rencontré un garçon qui aime faire du vélo, des randos, ou simplement m'accompagner glander courir dans le parc près de chez moi (et non voir ses fesses se dandiner 25 mètres devant n'est pas la seule motivation).


Je suis rentrée dans le sud pour les vacances du coup j'ai un peu de temps pour actualiser ce blog. Je ressens moins le besoin d'écrire qu'avant, à croire que la tristesse et les tourments sont une bien meilleure source d'inspiration.


J'étais heureuse avec mon ex, mais y'avait plein de trucs qui allaient pas à côté. La rupture a été radicale et douloureuse mais ça m'a vraiment permis de faire le tri dans ma vie, je me suis découvert une force dont j'avais pas idée. Je me suis mise à kiffer la spontanéité et les imprévus du quotidien, moi qui aimait tout prévoir des plombes à l'avance.

Mercredi je suis passée chez lui déposer le chaton qu'il a bien voulu gardé pendant mon absence. Passé les 20 minutes d'énervement à l'attendre sur son pallier parce qu'il s'était trompé de route (aheum y'a vraiment des trucs qui me manquent pas) j'étais finalement heureuse de discuter avec lui.

Je saurais pas qualifier notre relation aujourd'hui, nos rapports sont trop espacés pour que je puisse vraiment les analyser, mais quand je suis avec lui, je retrouve cette familiarité qui m'avait inquiétait la dernière fois. Finalement je crois que c'est plutôt sain, après avoir vécu plus de 8 ans avec quelqu'un, d'avoir une sorte de lien domestique quasi familial qui persiste.

Bon promis je reviendrai avec du plus croustillant la prochaine fois. Mais pour le moment j'aime bien garder tous ces petits morceaux de bonheur au chaud rien que pour moi (et pour mes amies que je soûle 23h/24h avec cet unique sujet de conversation ces dernières semaines).

Fig 3. Difficile à croire mais ça m'arrive d'être soporiphique

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